Comment bien choisir son thème sur ThemeForest ?
Pourtant, en tant que développeur, j’ai énormément râlé contre leurs thèmes, lorsque je devais les optimiser chez un client. Pour finalement, après beaucoup de réflexion, choisir l’un d’entre eux – Invicta – pour Lumière de Lune.
Alors, si vous aussi vous voulez choisir un thème sur ThemeForest, voici mes conseils. (Malgré son sujet, cet article est garanti 100% sans lien d’affiliation)
Se débrouiller en anglais est indispensable
“Se débrouiller”, au pire être capable de comprendre les traductions via le traducteur automatique de Bing (plus performant que celui de Google, je trouve). Toutes les discussions sur la plateforme se font en anglais, les thèmes sont documentés en anglais, très rarement en français.
De plus les auteurs ne sont pas toujours des anglophones natifs, ce qui complique encore la communication.
Et s’il y a quelque chose que vous ne comprenez pas, les forums vous seront rarement utiles, à moins de tomber sur la perle rare qui a acheté le même thème que vous.
Lire toute la documentation disponible
La plupart des thèmes sont présentés de façon détaillée. Bien lire tout ce qui est possible, et partir du principe que ce qui n’est pas dit n’est pas disponible.
Ainsi, “multilingual” ne veut pas dire “compatible WPML“, mais simplement que le thème a été traduit. La compatibilité avec Jigoshop n’assure pas nécessairement la compatibilité avec WooCommerce, et le fait qu’un thème présente une boutique en ligne ne veut pas dire non plus que c’est du “WooCommerce” (même si, en pratique, il y a de grandes chances).
La liste des shortcodes, des templates de page, les démonstrations des différentes skins, les techniques employées (pages d’archives en masonry ou pas) vont vous permettre de voir dans quelle mesure vous pouvez utiliser le thème sans mettre les doigts dans de code.
Vérifiez si le thème est livré avec tous les PSD ou avec un fichier de données de démo qui vous facilitera sa prise en main.
Regardez si TimThumb est mentionné, si c’est le cas, fuyez !
Vérifiez les dates de mise à jour : un thème n’a pas besoin d’être mis à jour toutes les semaines, mais il doit intégrer les changements faits dans le front end par WordPress ou certains plugins (WooCommerce 2 par exemple)
Les avis et surtout la discussion font partie de la documentation
Ils vont vous apprendre plusieurs choses essentielles :
- est-ce que les acheteurs trouvent qu’il est facile d’arriver au même résultat que la prévisualisation ?
- est-ce que le développeur répond vite et de façon efficace ?
- quelle est son attitude : un support large, ou un support limité aux bugs, tout le reste étant considéré comme des demandes supplémentaires payantes ?
- et, dans certains cas, quelles sont les limitations et – a priori – les erreurs de code du thème. Ainsi, j’ai été très intéressée par Socha, mais dans la discussion, j’ai vu que la page d’accueil du blog devait obligatoirement avoir comme identifiant “blog”. Même si, en soi, ce n’est pas très grave, cela signifie qu’un certain nombre de choses sont codées en dur, alors qu’elles ne le devraient pas, et cela soulève de grosses questions sur la qualité du code. Le même auteur étant par ailleurs un partisan du “tu payes pour n’importe quoi”, j’ai finalement décidé de ne pas prendre le thème.
Examiner le thème
Vous n’avez pas accès au code source, mais vous avez quelques outils essentiels, vous pouvez vous faire une très bonne idée sur le thème.
La barre d’outils WebDevelopper
Disponible sur Firefox et sur Chrome, cette extension est miraculeuse pour le développeur. Même si vous ne touchez pas au code, elle va vous permettre de vérifier :
- la structure sémantique des titres (bouton information, plan du document), il faut savoir qu’à peu près tous les thèmes WordPress doivent être corrigés… mais le travail peut être plus ou moins lourd. Si vous avez 50 H1 – ou pas du tout – sur la page d’accueil, fuyez !
- la structure du thème sans son maquillage : la plupart des thèmes sont montrés avec des images très esthétiques, qui influent sur votre perception de celui-ci. Parfois, certains auteurs habillent simplement avec quelques images différentes. Le menu “images” permet de désactiver les images, et de voir la grille du thème sans l’effet Waow.
Firebug
L’extension YSlow pour Firebug (lui même extension pour Chrome et Firefox) vous permet d‘analyser la vitesse de chargement de la page. Même si un site de preview n’est pas significatif, les points rapportés par l’outil montrent, d’un point de vue de la performance, la qualité du code et le travail éventuel s’il fallait le modifier pour optimiser la vitesse de chargement.
Enfin, Firebug, ou plus simplement Ctrl+U vous permet d’examiner le code source, et d’estimer s’il est inutilement chargé (par exemple des divs dédiés à la mise en page) ou pas. Vous pouvez aussi rechercher la présence de microformats, en particulier sur les pages produits.
Tester la responsivité
Rétrécir l’écran de votre navigateur vous permet de voir comment se comporte le thème. Chrome va plus loin en vous permettant d’émuler l’écran pour n’importe quel type de device sous Android : vous pouvez alors tester les fonctions et la navigation.
Vérifier les plugins nécessaires
Les thèmes incluent souvent des plugins, notamment Page Builder ou des Sliders, comme Revolution. Or vous ne disposez pas directement d’une licence : si l’auteur choisit de ne pas mettre à jour le plugin, vous n’avez aucun droit aux mises à jour, sauf à racheter le plugin vous même. Cela peut parfois s’avérer indispensable.
Rajoutez ce budget dans le prix du thème, pour éviter les mauvaises surprises.
Poser des questions à l’auteur
Vérifiez ce que vous avez cru comprendre, ou que ce que vous avez en tête est possible ou pas.
Par exemple, j’ai été séduite par Cafeteria, mais je préférais le look de la page événements à celui de la page de blog. J’ai demandé au développeur si je pouvais paramétrer ma page de blog pour montrer des images. Sa réponse a été (presque) claire : il n’y a pas d’autre page que celle montrée dans la démo, et les jolies images de gâteau sont les vignettes des articles.
J’en ai conclu que la réponse était “non”, et que, si je craquais, je devrais mettre les mains dans le cambouis.
Quand je cherchais mon thème pour Lumière de Lune, c’est la qualité des réponses de l’auteur qui m’a décidée. Je lui ai fait passer une véritable interview, en lui demandant des exemples de code dans ses fichiers, en fait je voulais voir les sources ! Il m’a laissé un accès admin à la version de démo, ce qui me permettait de voir les fichiers php du thème via l’éditeur ! (C’est exceptionnel, il ne le fera sans doute pas pour vous, j’avais su être convaincante).
Nous avons discuté par Skype pendant une heure, le lendemain de Noël.
Enfin, une fois le thème mis en place, il a été remarquablement réactif, intégrant mes remarques SEO, corrigeant les petits bugs, regardant même une fois mon thème enfant pour vérifier un truc bizarre.
Vous trouverez peut-être que cela fait beaucoup pour un thème à 60 dollars ? N’oubliez pas de rajouter le temps que vous allez passer à personnaliser votre site, à faire éventuellement un thème enfant, à paramétrer des options. Entre un bon thème bien codé, optimisé, et un thème qui va vous faire perdre des heures, des jours, le “prix total” va se monter à des centaines d’euros.
Si le thème utilise un plugin inutile et dangereux comme TimThumb et que vous êtes hacké, là aussi la facture va se chiffrer en centaines d’euros, plus peut-être…
Le thème répond-il réellement à vos besoins ?
Ce conseil est valable particulièrement pour les thèmes “spécifiques” (hôtel, voyage, restaurant, construction de tipi).
Ces thèmes, une fois les images supprimées, n’ont de “spécifique” que quelques fonctions et custom post types ou modèles de page.
Si vous avez, par exemple, un petit hôtel avec une seule catégorie de chambres, un thème d’hôtel qui a comme axe central la présentation des différentes catégories de chambres, vous convient-il ?
Si vous avez un hôtel-restaurant gastronomique, un thème d’hôtel (sans section détaillée pour la carte), ou un thème restaurant (sans info sur les chambres) est-il adapté ?
Pouvez-vous être original ?
Une des raisons du succès immense d’Avada ou d’Enfold, dans une moindre mesure, c’est qu’ils sont assez neutres, et suffisamment personnalisable pour que vous puissiez avoir un site qui ne “sente pas” son Avada à trois kilomètres.
C’est plus difficile pour des thèmes au graphisme marqué, comme Sahifa, que je reconnais partout, ou les productions d’ElegantThemes (qui ne sont pas sur Envato).
Concentrez-vous sur l’essentiel : la beauté intérieure
Le plus beau des sliders n’est pas l’essentiel. Au “pire”, vous achetez de façon indépendante un slider comme Revolution, et voilà.
“600 polices de caractères, 300 icônes”, c’est la version marketing de “utilisation des Google Fonts et d’un set d’icône SVG standard”. Vous ne regarderez jamais les six cent polices, vous allez en tester trois ou quatre…
Impressionné par les multiples possibilités du thème, demandez-vous si vous allez les utiliser ? Essayez par exemple de faire une fiche avec vos compétences représentées par des curseurs ? Avez-vous besoin d’une carte du monde pour représenter la localisation de votre petit magasin au fin fond de la Lozère ?
- une structure SEO correcte
- une bonne rapidité de chargement des pages
- un bon template de page single.php (celui que vos visiteurs verront le plus souvent)
- une page d’accueil ergonomique (fuyez les sliders qui occupent toute la page)
- de la place pour vos publicités si vous comptez en mettre
- la qualité du responsive
Évidement, tous ces conseils sont utiles pour le choix de n’importe quel thème payant…
Bonjour,
merci pour les infos.
La grande difficulté est de pouvoir vérifier les points essentiels cités plus haut.
Une petite faute de frappe ?
“Regardez si TimThumb est mentionné, si c’est le cas, futez !”
Note : ce commentaire peut être supprimé.
Faute de frappe corrigée, merci :)
Tous les points que j’ai mentionnés sont vérifiables, par contre, il est vrai que pour certains, il faut avoir des connaissances en code, pour apprécier la qualité du thème.
Pour TimThumb, il est quelque fois marqué “génération de miniatures de qualité” – je mets en français. Il y a aussi un bon moyen de voir le thème en action c’est d’aller voir les sites des utilisateurs – c’est quelque fois indiqué dans la page des questions “Envato” ou carrément par le créateur du thème. On voit tout de suite la souplesse du code si certains sont très modifiés par rapport à la démo.
Ça me fait en effet toujours rire les thèmes “spécifiques” genre “church” ou “mode” ou “charcutier”.
Il y a aussi une chose que le plus souvent on ne peut voir qu’après avoir acheté le thème : c’est la complexité de son framework.
Par exemple, “the 7”. J’ai passé une journée à l’apprendre et une autre journée à le customiser, pour qu’au final, cela ne colle pas.
L’erreur est de filtrer par les meilleurs ventes pour se retrouver avec des usines à gaz.
Finalement, puisque de toute façon il faudra mettre les main dans le cambouis d’une façon ou d’une autre, autant prendre un petit thème léger qui se personnalisera bien plus rapidement.
C’est un vrai piège. J’ai deux thèmes dans lesquels j’ai investi et laissé tomber pour cause de personnalisation trop complexe. Mais ils étaient si jolis :-)
Tout à fait d’accord. Avec l’habitude, on finit bien par avoir un certain “instinct”, mais globalement, plus tu as d’options, plus c’est compliqué, ce qui est logique.
Bonjour,
Merci pour votre article qui tombe à pic puisque je suis plein dedans en ce moment et c’est loin d’être une tâche facile.
Je compte migrer un de mes vieux blogs de Blogger vers WordPress et malgré tous les tutos qui circulent à ce sujet j’ai toujours un doute sur l’efficacité d’une méthode par rapport aux autres. Pouvez-vous nous faire un sujet là dessus ? (s’il respecte la ligne éditoriale du site bien sûr). Sinon, pouvez-vous, si possible, m’indiquer LE tuto à suivre pour limiter la casse lors de la transition.
Merci à vous
Bonjour Hassan, votre url a été supprimée et votre ancre modifiée (cf la petite liste au dessus du formulaire de commentaires)
Sinon j’ai exporté autrefois des blogs de Blogger à WordPress sans aucun problème. Le plus simple est de tester avec une installation locale, vous pouvez recommencer autant de fois que vous voulez. Pour les redirections cela dépend si vous avez votre propre nom de domaine ou pas sur Blogger. J’ignore si Blogger propose aujourd’hui un service de redirection ?
Bonjour Marie Aude !
Tu me prends de court sur ce… thème ;)
Alors en tant que GROS consommateur Themeforest, je suis à la longue devenu un peu “expert” grâce à quelque grosses bourdes réalisées…
A longue j’ai donc ajouté a ta liste quelques critères :
– Le petit panneau a droite avec les mentions “dernière mise a jour”, “compatible avec…” Pour un vieux thème une mise a jour récente indique que l’auteur suis bien son code. Ce n’est pas une généralité mais un bon indice
– Le nombre de ventes / date de publication. C’est très paradoxal, mais un thème peu vendu sera mal suivi… J’en ai eu la dure expérience avec plusieurs sites et il a fallu changer de thème tout simplement !
– Les “superbes thèmes” woaw trop top qu’on prend pas la peine de regarder de près, très bien vendu, bien mis a jour, auteur Elite… et SEO de merde ! (genre des URL de type /monsite.com//pluto/#menu-item-2637) et se faire dire “on peut pas modifier, c’est pas dans la démo c’est pas dans le thème…) => il faut TOUJOURS supprimer la frame et voir les vraies url des thèmes…
on les achète, et on les jette…
– je regarde toujours aussi les changelogs quand il y en a, et si c’est un nouveau thème… j’attends… Et la encore… j’ai pas attendu… j’ai acheté… et j’aurais pas dû ^^
Je ne saurai trop insister sur l’indispensable lecture des commentaires, pour voir les “emmerdes” qu’on achète avec…. ca reste un point crucial.
Je suis bien d’accord avec le critère du nombre de ventes: un thème qui se vend bien sera suivi par son concepteur et il y a de fortes chances que son code soit correct car il doit y avoir des bons retours.
J’ajoute un autre point.
Même si le code est correct, il n’en sera pas pour autant “raisonnable” et surtout optimisé.
Je prends pour exemple le nombre colossal de css/js qui son chargés par tout un tas de fonctions qui ne sont franchement pas utiles et qui alourdissent le truc considérablement.
Bonjour les temps de chargements.
Et ce qui m’énerve plus que tout : ces même css/js qui sont appelés sur des pages où la fonction n’est pas présente !
Le fameux contact form 7 présents sur toutes les pages, des slider dans les pages contact, etc…
A faire le ménage la dedans : on gagne considérablement en perf mais une fois de plus on y passe un temps fou.
C’est le côté obscur des “options”. On ne peut pas tout avoir…
Super article.
Je suis aussi en plein dedans pour faire un présélection réduite par genre, cela prend un temps monstrueux de tout regarder.
Malgré cela, et comme dit, cela prend encore plus de temps pour faire les corrections..:( Ce que disent Li-An et Mémo Info est tellement vrai !
Que de mésaventures quand on est novice pour choisir….
Bref aujourd’hui pour moi c’est vraiment se limiter à quelques thèmes qui correspondent à tout mes besoins, sans nécessiter d’y passer des heures pour corriger.
Merci pour le tip YSlow, je n’y avais pas pensé!
Hello !
Sinon, pour rebondir sur cet excellent article qui rejoint ma propre expérience (je crois que j’ai acquis les 15/20 thèmes envato les plus populaires) je pense qu’un indicateur assez pertinent -à mon avis- est le ratio nombre de vente/commentaires.
Souvent, quand il y a autant de commentaires que de ventes, c’est soit que tout n’est pas clair dans la documentation, ou encore que les fonctionnalités n’y sont pas ou pas explicites. Ce n’est pas forcément bon signe.
L’exemple avec Invicta, 700 ventes pour “seulement” 150 commentaires.
D’autre part bien faire attention à la forte dépendance aux plugins tiers, certains thèmes en abusent et c’est proprement impossible à maintenir.
La tendance actuelle des développeurs est de simplifier leur thème en terme de fonctionnalités, et de déporter les fonctionnalités dans des plugins de leur facture, et compatibles avec l’ensemble de leurs thèmes.
Du coup cela produit un thème plus léger, et si l’on souhaite utiliser un autre plugin que le leur pour par exemple les galleries, on ne se traîne par leur code en plus dans le thème. (cf Array.is, Okay Themes etc…)
Après, il arrive quelquefois que le thème que vous avez choisi disparaisse de la vente chez Envato, parce que le développeur du jour au lendemain ne le maintient plus (rigolez pas cela m’est arrivé…) Et là on est souvent à la merci d’une mise à jour majeure de WordPress, qui fait sauter le thème…
Bref, donc essayez de prendre en compte l’ancienneté du thème et une bonne régularité de mise à jour, souvent en suivant celles de WordPress, celui-ci introduisant des modifications/améliorations qui doivent être incorporées par les développeurs de thèmes.
Pour finir et cela n’engage que moi, certains thèmes paraissent très puissants, mais pour réaliser la belle mise en page “tirée au cordeau” que vous admirez sur la démo, s’appuient sur Visuel Composer (un plugin de mise en page payant) qui sur le papier est formidable, mais qui rend les site impossibles a confier à votre client. Donc, pour ma part je proscris.
PS *petite typo dans votre texte : “et” partir du principe plutôt que “est partir du principe”
Oui, le ratio vente / commentaires est un excellent indicateur.
Je suis pour la simplification des thèmes avec le déport vers des plugins, c’est nettement plus sain, avec quelques risques (cf article d’aujourd’hui).
Typo corrigée :)
Bonjour,
De mon côté, je n’ai jamais été pleinement convaincu par un thème. Comme je suis frileux, je pars d’un premium (ou pas d’ailleurs) puis je crée immédiatement un child… qui prend peu à peu le dessus sur le parent !
Le gros problème n’est bien souvent plus au niveau du SEO, du responsive, de la semantique, car les gros “thémeurs” ont compris que ça vendait. Mais le code ! Comme bcp de “dev” WordPress, le PHP est difficile à lire et maintenir.
Et puis la surcharge de javascript et de webfonts, maladie commune.
C’est vrai que, depuis quelques mois, la sémantique s’est améliorée, sans être parfaite.
Invicta… Je l’ai pris pour une cliente, pour sa légéreté, entre autres.
Pas d’options dans tous les coins et de zigouigoui inutile. L’essentiel.
J’ai bien aimé Enfold au début. Mais plus ça va, plus il est lourd, et plus ils en mettent dedans.
Y’a je ne sais pas combien de slider disponibles, etc… Ca devient nawak.
Ah oui, je ne rajoute rien sur tes conseils, je me suis fait les mêmes remarques que toi.
ThemeForest reste tout de même un bien source de thèmes !
En revanche, tiens, quand tu es débutant, le code, tout ça… Paie ta misère :/
Salut,
Article très interessant comme toujours !
2 commentaires :
-Invicta n’est plus en ligne chez Theme Forest :/ Bug passager ?
-Tu parles d’Avada, as tu un avis dessus ?
Merci :)
Bonjour Sylvain,
je découvre la disparition d’Invicta, c’est extrêmement récent, je pense que c’est lié à la mise à jour de la V4, je viens d’envoyer un mail au créateur. Pour Avada, je ne l’ai jamais utilisé donc je n’ai pas d’autre avis que
“il doit quand même être pas mal pour être aussi vendu, mais ça m’a l’air d’un thème “pourri d’options” donc pas ce que je cherche personnellement”.
Bon retour de l’auteur : le thème est désactivé comme TOUS les thèmes Themeforest qui incluent Revolution Slider, le temps de faire la mise à jour, Pedro l’a faite et il attend de revenir “incessamment sous peu”
Bonjour,
J’ai une petite question, comment met on à jour un thème acheté chez themeforest ?
Merci d’avance
Olivier
On va sur son compte ThemeForest, on le télécharge et on remplace les fichiers. Lisez bien les instructions éventuelles de mise à jour s’il y en a. Il se peut que vous ayez à faire des manips vu la complexité de certains thèmes.
Merci pour la réponse
Mais faut-il désinstaller le thème déjà installé dans wordpress puis installer le nouveau thème ? ce qui n’est pas très pratique.
Non il suffit de remplacer via FTP
Eh oui merci
Bonsoir,
Merci pour toutes ces indications.
je suis à la recherche d’un thème multilingue (minimum français-anglais) qui soit le moins susceptible possible d’être hacké, dont je pourrais choisir les couleurs de bg et de police sans avoir de problèmes lors des màj. Je ne suis pas pro du tout, mais j’avais créé un site statique avec DW.
Je vois que Avada est déjà traduit en français, ce qui pourrait permettre le multilinguisme directement..
Pouvez-vous comparer les 3 cités ici: Invita, Avada et Enfold?
Bonsoir Solène, être traduit et être “compatible” multilingue sont deux choses différentes. Pour avoir un site multilingue, il faut utiliser un plugin comme WPML, ET des thèmes et plugins compatibles avec ce plugin, ou “un autre”, mais en réalité les seuls plugins qui permettent de traduire totalement un site suivent la logique d’organisation de WPML.
Néanmoins, les trois cités ici sont tous les trois compatibles multilingues.
“Moins susceptibles d’être hackés”, difficile d’y répondre, car c’est tout un système à prendre en compte, y compris les plugins, l’utilisation que vous faites de WordPress (mono utilisateur, multi, etc)
Personnellement, j’ai choisi Invicta pour mon site ^^
Merci ! Je vais m’y pencher!… On verra ce que j’arrive à faire….
Ohhh, je suis curieux de lire la réponse de Lumière.
Pour ce qui est du hackage, ThemeForest ne met pas en vente des thèmes “susceptibles d’être hackés”. Il se trouve que des scripts utilisés par beaucoup de thèmes ont révélé une faille mais si ça avait été su avant, vous pouvez être sûr qu’ils n’auraient pas été mis sur le site.
Bonjour Marie-Aude;
Je tiens tout d’abord à vous remercier pour vos très précieux conseils, connaissez-vous un excellent thème premium pour église?
Merci
Bonjour – et merci
Non pas particulièrement, car je ne cherche pas trop des thèmes “thématiques”. Selon ce que vous voulez, n’importe quel bon thème de type magazine avec un plugin de gestion d’événements ou de calendrier peut suffire.