Huit sites que tu ne devrais même pas penser à faire

Ville du FarWest à Disneyland
Certains sites sont aussi anachroniques qu'une boutique du FarWest

Marie-Aude

J'ai fait de la compta, de la finance, du juridique, j'ai été chef de projet SAP, j'ai fait de la photo, des voyages. Depuis 2007, je fais avec amour des sites webs pour les utilisateurs, qui se référencent bien et je vous aide à acquérir du trafic pertinent.

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24 réponses

  1. Maurice Largeron dit :

    Bonjour,

    Merci pour cet article qui remet les pieds sur terre….quand on voit certains budgets pub pour lancer ou entretenir certains business…:(

    Cependant, cela démarre souvent dans un coin de table , un soir de lumière de lune :)

    Des exemples ? Prenons les plus connus… l’histoires des Bezos et autre Brin, Page, Zuckerberg…au début de la conquête du web

    Tout est loin d’être gagné, même si les empires semblent durer , ils finissent par péricliter à un moment de l’histoire…Alors qui sera le prochain élu ? Suspense

  2. Stéphane dit :

    bon, tu pourrais au moins fournir la corde avec ton billet ^^

    Pour le forum, c’est encore jouable, si, si, si. Je te jure.
    Je précise que ton argumentaire tiens la route, nous sommes bien d’accord.
    Toutefois, prend les groupes FB, c’est bien pratique pour des discussions à bâtons rompus, du live.
    Je pense que tu as déjà du essayer de faire une recherche de sujet dans l’un de ces groupes ? Paie ta misère.
    Les pièces jointes ? Les quoi ??
    La catégorisation ? Ah… (Ok, G+ est en avance là dessus… mais G+ quoi, tout est dit).

    Donc, oui, un forum, faut avoir de gros bras pour bien ramer, et une petite équipe de fadas prête à te suivre dans l’aventure.
    Et ça peut prendre.
    Avec PB, on est pas loin d’y parvenir.
    La boulette, c’est d’avoir amorcer avant l’été.
    On va remettre ça, mais y’a moyen ! :D

    Voilà, maintenant, tu peux me prêter ta corde steuplé :D

    • Marie-Aude dit :

      Merci pour la 4° idée de site qui marche : boutique de corde pour se pendre :)

      J’ai volontairement laissé de côté le secteur “seo, blogging, webentrepreneur” qui est très particulier

  3. Thomas d'Artiref dit :

    Super article Marie (et merci pour la mention)

    Concernant les centrales de resa, et c’est surement valable pour les autres secteurs/services que tu décris, je pense que ca peut être encore jouable sur une hyperspecialisation, le marché de niche.
    Pour rebondir, les hôteliers inquiets des centrales de resa traditionnelles, ont créé fairbooking, une centrale de resa qui se positionne sur la resa éthique, la resa solidaire, un peu comme les AMAP et curieusement …. ca marche. Mais bon, ils ont pour eux la légitimité (ils sont hôteliers), chose qu’un internaute “opportuniste” ne pourra pas avoir.
    Donc sur des marchés de niches et hyperspécialisés, il y a encore des opportunités, à conditions d’avoir la légitimité et la compétence pour exploiter ces niches ;)
    Bonne continuation a tous

    Thomas

    • Marie-Aude dit :

      C’est pour cela que j’ai fait le dernier paragraphe, “ça peut marcher si”… en fait le travail de project management que j’ai fait pour une centrale de réservation était, de la même façon, orienté sur ce créneau de la réservation solidaire au Maroc. Avec, derrière, pour des raisons différentes, aussi, une vraie légitimité. N’empêche que, légitime ou pas, hyper niche ou pas, il faut du budget !

      Cela dit, sur l’e-tourisme en général, les budgets sont particulièrement colossaux, à la hauteur du secteur et de la clientèle. Donc le ticket d’entrée est particulièrement élevé.

  4. Nicolas Augé dit :

    Hello M-A.

    Comme dit sur twitter mais je pense que je me suis mal exprimé donc je reviens à la charge car c’est plus facile avec plus de mots ! ;-)

    Dans la partie “Un forum”, je pense que ta phrase suivante est tronquée : “Lorsqu’on entre en concurrence avec des gros forums déjà existant (voyage, communauté de gameurs,”, non ?

    Sinon, j’en profite pour te dire que tu m’impressionnes avec toutes tes publications aussi rapidement, bravo ! :-D

  5. Pierre dit :

    Salut,

    Encore un très bon article ;-)

    Par contre tu as parfaitement raison, il existe de très nombreux pays où le web n’est pas développé, ou parfois développé dans des secteurs spécifiques, je pense notamment au tourisme qui forcément draine du cash, mais où en parallèle, la population locale est globalement délaissé et où il est encore possible de creuser son trou.

    Le seul inconvénient, c’est qu’il s’agit d’habitudes de consommations différentes, il faut donc parfaitement connaître le secteur pour s’en sortir et comme tu le soulignes le e-commerce en Algérie en est peut être à ses balbutiements, mais celui qui ne sait pas séduire la population Algérienne par un concept qui colle à la culture locale va droit dans le mur.

    Je prends un exemple que je connais bien l’île Maurice, pour voir la concurrence, je vais prendre un gros raccourci mais qui me semble révélateur, des banques et des assurances PR2, les sites les plus trustés avec un PR5 ou 6 (hyper rare), pratiquement aucun site d’e-commerce… Bref un vrai marché ;-)

    • Devnosite75 dit :

      Oui, encore faut-il que dans ces pays l’internet soit suffisamment développé et qu’ils ne soient pas de micro-marchés.

      Tu parles de l’Algérie, mais est-ce que tu sais le taux de couverture d’internet en Algérie? Chez les particuliers et dans les call box? Quelle langue utiliser? Une novlangue entre l’arabe et le français? Quel public sera visé? Une frange réduite de la population maîtrisant extrêmement bien le français ou maîtrisant extrêmement bien l’arabe. Et qu’en est il de illettrisme ou de l’analphabétisme lorsqu’on traite ce type de pays. C’est donc très compliqué. Il faut être algérien pour comprendre l’Algérie (et encore, de ville en ville, on passe d’un monde à l’autre).

      A partir du moment où il n’y a pas de site web sur une niche, pour moi ce sont soit des micro-marchés en devenir, soit des pays affiliés à un autre. L’Algérie en est un exemple. C’est un pays très affilié à la France et aux services américains pour les réseaux sociaux. Est-ce qu’en Algérie on a besoin, par exemple, de développer des Leboncoin bis, par exemple? Il y a des souks, des médinas, des marchés pour ça.

      J’ai déjà tenté un truc sur l’Algérie. Et je peux dire qu’aujourd’hui, si on met des projets en place, ils ont toutes les chances de se développer très lentement. On peut juste se positionner comme on positionnerait un site parking :p

      • Marie-Aude dit :

        Je connais un petit peu l’Algérie parce que je connais des dev algériens qui bossent là bas. Je n’ai pas dit que c’était une idée de site “pour moi”, mais qu’entre un énième blog de Geek sur l’iphone et un site dédié au marché algérien, si j’étais développeur là bas, je choisirais le second, car même dans un secteur “bouché” ailleurs, en local, j’aurais une chance. Par contre, le taux d’alphabétisation en Algérie et le niveau culturel global est largement supérieur au Maroc. L’internet y est cher, mais plus que le prix de l’internet, ce sont les contraintes règlementaires qui sont pesantes.

        Quant à ta question “est ce que l’Algérie a besoin de développer des Leboncoin bis”, regarde le Maroc : les Bikhir, SoukAffaires, Avito ont commencé comme des sites locaux, rachetés ensuite par les gros internationaux (j’en connais un). Au début les gros ne s’intéressaient pas au marché, le besoin a été rempli par des acteurs locaux, et puis après ils sont venus en force. Les acteurs locaux répondent au micro marché.

        • Devnosite75 dit :

          C’est sûr qu’il y a des possibilités avec l’Algérie. Des niches en friche, complètement vide, de quoi se placer et une demande importante. La réussite de projets comme ceux là repose quand même beaucoup sur le background culturel de la personne qui tient le site et sa capacité à en tirer partie. Perso, ça je ne sais pas faire, ni sur le Maroc, ni sur l’Algérie. Vu mes ascendances et mes liens sur les deux pays et le nombre de fois durant lesquelles j’ai été là bas, je n’arrive pas à concrétiser un projet rentable. C’est comme si j’étais étranger à ces deux pays au niveau du business. C’est beaucoup moins monolithique que la France (enfin, je trouve, parce que ça peut être aussi une vue de l’esprit d’un fils d’immigré français).

          Pour le coup, je fais encore pas mal dans l’éditorial geek et je trouve que c’est très très simple. Ca se rôde facilement. Quand tu as la recette une fois, tu l’as 10 fois. Les leviers sont souvent les mêmes. C’est juste consommateur de ressources en rédaction (ce qui pose le problème de la véritable rentabilité). Après c’est sûr qu’avec l’Algérie ou le Maroc, on arrive à capter facilement du trafic important via des canaux sympas comme Facebook. Il y a peut-être plus de possibilités pour faire un genre de “marketing internet” à l’ancienne. Mais après viennent les problèmes. Personnellement, j’ai buté sur la monétisation. Concrètement, le modèle que j’avais estimé viable passait par le téléphone portable. Il s’est avéré que non (même si je sais que d’autres y sont arrivés). Enfin, j’avais un objectif chiffré et échéancé à court terme (c’était sûrement le défaut du projet). Au final, j’ai laissé en friche en attendant de voir. J’ai pris ma place en quelques sortes.

          J’imagine que ta position te permet d’observer correctement et lucidement ces pays à l’inverse de moi. Quand je traite une niche française, je le fais avec un recul important. Dès que ça touche le maghreb, c’est comme si j’avançais dans le noir, parce que ma lucidité est flinguée par ma double culture et du resentiment. C’est comme si je passais d’un modèle rôdé à un amateurisme dingue.

          Tu as un divan Marie-Aude? lol

          • Marie-Aude dit :

            Tout à fait d’accord pour le background culturel. D’ailleurs, “il y a des possibilités”, cela ne veut pas dire pour moi. Et sur le Maghreb, beaucoup de projets sont à long terme : soit tu as beaucoup d’argent / des investisseurs qui y croient, et tu viens pour occuper les positions, quitte à perdre de l’argent les premières années (j’en connais), soit tu peux vivre avec peu, ce qui implique souvent d’être un local. Le cas du Maroc est très particulier : entre ses 40.000 français, ses anglais, ses quelques suisses, belges, etc. tu as une véritable clientèle européenne en local. Néanmoins, tous ces gens – moi y compris – réussissent mieux en travaillant “pour les occidentaux” que “pour les marocains”.

            La monétisation d’une audience africaine reste un vrai problème. Peu de régies avec des produits dédiés (net affiliation s’installe au Maroc), peu de moyens de consommer de l’autre côté, et un côté “hackeur” qui casse beaucoup de choses.

            Sinon, pour le divan, oui, comme toutes les bonnes maisons, on a deux salons marocains :) mais tu es loin d’être le seul : cette implication affective est ressentie par beaucoup, ici. C’est même, d’une manière générale, une des deux ou trois raisons majeures quand un “retour de MRE” échoue.

  6. Hassan dit :

    Bonjour Marie-Aude,
    Concernant le Maroc qu’on est-il des conditions drastiques,d’anatant, du CMI à l’égard des e-commerce ? Et (tjrs pour le Maroc), auriez-vous des statistiques de la langue la plus utilisée par les internautes pour faire des recherches ? Français ou Arabe ? Plus explicitement, ça vaut le coup de lancer des sites en Arabe ?
    Merci

    • Marie-Aude dit :

      Bonjour Hassan
      peu de gens font des sites en arabe, et je me pose régulièrement la question. J’ai l’impression que les gens cherchent en français ou en arabe en fonction de ce qu’ils cherchent, et de l’endroit où ils se trouvent (FB ou Google). Personnellement je pense que cela vaut le coup d’investir là dedans.
      CMI met de l’eau dans son vin et Paypal devient de plus en plus intéressant (article à venir)

  7. Devnosite75 dit :

    Quelques nuances sur trois choses:

    1 – Le coût de développement. Effectivement, les budgets que tu annonces sont ceux-là en France. Seulement, il n’est pas si difficile que ça de recruter un développeur indien qui va bougrement casser le budget. Un webdesigner américain qui bossera pour quelques centaines de dollars sur un design intéressant. Et pareil pour un intégrateur. Le tout étant de bien quadriller son projet pour ne pas se perdre au travers de ces intervenants et de monter des cahiers des charges très précis.

    2- Le blogs de geek. S’il est niché sur une façette du monde geek et que tu as une bonne expertise de la chose couplée à de la patience et un rythme de publication très important, ça peut marcher encore. Frandroid est un bon exemple. Il faut flairer le bon créneau. Par contre, au début, tu ne dors pas.

    3- Les forums. Pour moi un forum n’a pas beaucoup d’intérêt seul, car souvent très difficile à monétiser sans devenir une plaie pour les forumeurs. Mais si on couple le forum à un bon concept (avec une forte intégration entre les deux), il y a de quoi avancer. Mais soyons d’accord, fini les forums du type commentcamarche.net.

    Globalement tout ce que tu dis est vrai. Il y aura toujours des exceptions. Le problème majeur se porte sur ceux qui démarrent dans le web. Ils ne comprennent pas que pour monter un projet il faut désormais prendre le risque financier/temporel et moral d’y perdre grandement. Et c’est d’ailleurs très bien. Ce qui sortira à l’avenir sera plus pro’ et plus proche de la vie réelle des entrepreneurs.

    Pour ceux qui veulent devenir l’exception qui confirme la règle, il faut aussi considérer l’esprit de celui qui porte le projet. Est-il déterminé? Où en est il de sa courbe d’apprentissage de l’éco-système du web? Acceptera t-il un semi-échec? Croit-il qu’il deviendra riche ou est il réaliste et en phase avec le véritable potentiel? Est-ce qu’il sait se fixer des limites dans l’absurde (si le projet s’effondre)? Est-ce qu’il a la souplesse d’esprit de faire du jetable (pour les gens qui auraient envie de monter des annuaires par exemple ;) )?

    Aujourd’hui. Plus que les concepts, ce sont les entrepreneurs du web qui ont une difficulté à bien cerner les enjeux et à fixer les objectifs. On voit parfois des gens assez connus dans ce milieu ne pas se remettre d’un échec.

    • Marie-Aude dit :

      La question de la réduction des coûts via l’offshoring est très particulière. J’ai bossé avant dans une grosse boite qui offshorait en Inde et en Europe de l’Est (boîte allemande, donc moins cher en Europe de l’Est), et qui en était arrivé à la conclusion que les économies brutes sur le développement était très largement absorbées par les inconvénients. Sur des très gros budgets, ça vaut le coup. Sur des petits budgets, ça vaut le coup aussi, car il y a peu de risques.
      Pour la centrale de réservation, j’avais fait un cahier des charges de cinquante pages, on a consulté une dizaine d’agences. Quatre ont tellement flippé qu’elles n’ont pas répondu, une a refusé de signer l’accord de confidentialité, donc n’a pas reçu le cahier des charges, une a fait une réponse “pas cher à côté de la plaque”. Deux ont fait une offre autour des 100.000 €, qui correspondaient aux estimations que mon client avait eu avant. Enfin la dernière a proposé une solution intelligente, innovante, à moitié prix, a eu le marché, et a livré dans les temps. Ils étaient sur Toulouse. L’off shoring en Inde n’était pas envisagé, mais j’ai, par curiosité, traduit le cahier des charges, et envoyé à deux boîtes indiennes qui me spamment régulièrement. Elles étaient plus chères que la société toulousaine.

      Sur le blog de geek, dans le cas que tu décris, oui, bien sûr ça va marcher.

      Un projet qui ne marche pas “super bien” est aussi un projet intéressant, pas inutile, recyclable. Encore faut-il avoir les pieds sur terre !

      • Devnosite75 dit :

        Ouep. Effectivement, une centrale de réservation va générer des coûts énormes de dev’ et un processus de validation de l’ensemble des fonctions du site super pointilleux. Bosser avec des indiens ou des gens d’Europe de l’est sera compliqué.

        Par contre les projets plutôt moyens développés from scratch où ici on te demandera 15 000/20 000 euros peuvent trouver preneur pour 3000 dollars. A quoi on ajoute souvent un surplus du fait de la roublardise du dev ou de la société. Faut souvent tester et se faire des copains là-bas. Valider ici que tout est bien mis en place. Et puis avoir un budget amélioration pour le futur proche.

        Big up à toi Marie-Aude. :D

        • Marie-Aude dit :

          On peut effectivement aussi décider de partir sur un développement à pas trop cher, à améliorer ensuite si le site démarre bien et le justifie. Développement + améliorations couteront globalement plus cher, mais on économise en n’étant pas super pointilleux au départ. C’est une bonne approche, quand tu maitrises suffisamment pour savoir là où tu peux te permettre de lâcher du lest, tout en suivant la qualité du dev pour qu’il n’y ait pas tout à reprendre. Il faut faire gaffe à la qualité de la doc, etc… bref, ça coûte moins cher, mais pas tant que ça.

          Merci pour tes commentaires !

  8. Jimcail dit :

    Bonjour a tous,

    Je comprend mieux pourquoi j’ai bien du mal a faire connaitre quelques sites de ma liste puisque je suis dans des thématiques à liste, Annuaire, petite annonce et forum…

    En ce qui concerne les sanctions actuel sur les annuaires je ne sais pas quoi en pensé tellement les raisons sont variés, en ce qui concerne les petites annonces gratuite, je pensais avoir un concept innovant qui aurais pu me démarqué des concurrents, sur le papier c’était bien, mais la réalité en est tout autre, contenus dupliqué mais surtout tentative d’arnaque au rendez-vous qui vous fait perdre un temps précieux, surtout que sur mon site vous pouvez déposer un lien avec votre annonce, je vous laisse imaginer les spammer qui prennent l’habitude de venir me spammer.

    En ce qui concerne mon forum, c’est encore une autre affaire, deux mois après son lancement, nous étions placés en top trois sur dix requêtes, mais apparemment, cela ne plaisais pas au anciens car j’ai pris un NSEO en règle qui a fait dégringolé la home de mon domaine, fort heureusement, grâce a une équipe de membres soudé, le forum fonctionne plutôt bien mais c’est quand même ragent…

    Je vais donc me focaliser dans la rencontre, pour vivre heureux il faut vivre caché, c’est bien connu!

    Cordialement
    Jimmy

  9. Julien dit :

    Il n’y a que la centrale de réservation que je n’ai pas fait dans ta liste :) Je confirme il faut mettre les moyens pour sortir du lot ou alors focaliser son site sur un marché bien précis.

    J’ai pratiquement abandonné tous ces projets personnels au profit d’autres projets qui seront d’ailleurs peut être dans ta prochaine liste :)

  10. Thomas dit :

    Pas d’accord avec le point “Une centrale de réservation” : AirBnB a réussi l’impossible, en détrônant même les dinosaures de l’hôtellerie tels qu’Accor Hotels..

    Impossible is nothing , comme dirait l’autre :)

    • Marie-Aude dit :

      Oui mais AirBnB n’est pas une centrale de réservation. De plus, et surtout AirBnb a été fondée en 2008, à une époque où beaucoup plus de choses étaient possibles.

      Mais allez -y, faites la vôtre :D

  11. GraphikoPhil dit :

    Je suis assez satisfait de voir que mon super projet perso top secret chronophage n’apparait pas dans la liste. Je vais pouvoir me planter en toute tranquillité d’esprit et, une fois que cela sera fait, revenir vers toi pour te proposer de rajouter une liste. ^_^

    Par contre, j’ai des amis qui se sont lancés dans certains projets listés, tu crois que je devrais leur dire ?? :)

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