Banques d’images libres de droits… la suite.

Marie-Aude

J'ai fait de la compta, de la finance, du juridique, j'ai été chef de projet SAP, j'ai fait de la photo, des voyages. Depuis 2007, je fais avec amour des sites webs pour les utilisateurs, qui se référencent bien et je vous aide à acquérir du trafic pertinent.

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8 réponses

  1. Chris CB dit :

    Merci d’avoir fait l’analyse que je n’ai pas su exprimer. :) Tout ce que tu dis est très juste et correspond assez à l’idée que je me fais de cette pétition. Je constate juste qu’enfin, les associations telle que l’UPC réagissent… il était temps.

  2. Marie-Aude dit :

    C’est vrai qu’il ne faut pas leur jeter la pierre parce qu’ils se sont décidés à bouger.

  3. moumny dit :

    D’accord a 100% ! Bon ba vu que je n’ai rien de plus a dire…

  4. Marie-Aude dit :

    Merci pour le passage alors :)

  5. aSeed dit :

    Merci, ça fait plaisir de lire enfin une analyse objective de cette situation. C’est aux photographes de se valoriser et non pas aux microstocks de devenir hors la loi (et sous quel prétexte).

  6. Chris CB dit :

    aSeed> Bah les microstocks ne “deviennent” pas hors la loi, la plupart d’entre eux le sont déjà et violent le droit d’auteur sans s’en cacher, quand ils ne volent carrément pas les images (on retrouve certaines de nos images dans des stocks sans qu’on ai jamais rien signé). Je rappelle qu’en France, le libre de droit n’existe pas.

  7. Marie-Aude dit :

    Exactement :)

    Il n’y a pas besoin de “rendre” certaines banques d’images hors la loi, elles le sont déjà. Et les autres, celles qui respectent la loi, ne peuvent pas vendre à aussi bas prix.

  8. Yttrium dit :

    Quand la photographie enfonce les grilles des jardins du Luxembourg
    Yttrium

    IMAGES & LIBERTES

    LANCEMENT DU GROUPE DE TRAVAIL SENATORIAL DEDIE A LA PHOTOGRAPHIE ET AUX PHOTOGRAPHES

    Dans le contexte de la discussion en loi de Finances 2008 de la mise en oeuvre du passeport biométrique, plusieurs sénateurs, membres de la Commission des Finances, ont mis en garde le Gouvernement sur les conséquences économiques, sociales et politiques de ce projet pour les photographes.

    Philippe Marini, le Rapporteur général du Sénat et Michèle André, rapporteur spécial sur les titres sécurisés se sont engagés à plusieurs reprises, par voie d’amendement à soutenir
    « l’économie photographique » en France, et à tenter de rééquilibrer l’offre des opérateurs privés face à une « nationalisation » non concertée de la prise de vue des photos d’identités. Par ailleurs, les difficultés rencontrées par les organisations professionnelles du secteur pour faire entendre leur voix et faire comprendre aux pouvoirs publics que 8000 emplois étaient en jeu, ont mis en lumière une nouvelle fois, l’absence de reconnaissance politique des métiers de l’image et de la photographie ; qu’ils concernent la création, le photo-journalisme, l’illustration, les artisans photographes ou encore les industries de la photographie… Elles démontrent également qu’il devient urgent de replacer la photographie au sein des discussions politiques.

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