1 sur 15.000 et je serai celui-là !

Banc de poissons
Tout est bon pour se faire remarquer dans la foule

Marie-Aude

J'ai fait de la compta, de la finance, du juridique, j'ai été chef de projet SAP, j'ai fait de la photo, des voyages. Depuis 2007, je fais avec amour des sites webs pour les utilisateurs, qui se référencent bien et je vous aide à acquérir du trafic pertinent.

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11 réponses

  1. LaDgig dit :

    Je t’avoue que j’ai cliqué car je comprenais pas le rapport avec toi et Frédéric Lefebvre dans ton tweet… ça m’intriguait.
    Après, j’ai quand même vérifié que l’url de ton tweet menait bien vers ton blog et je me suis retrouvé à te lire jusqu’à la fin.

    Article très intéressant dans la lignée de beaucoup ici, notamment le comparatif entre GG et FB sur les desc.

  2. Philippe dit :

    Suis arrivé sur ta page via le flux rss. Hum, malgré le titre de la page. :P

    Article fort intéressant car il dépoussière un certain nombre de concepts. Tu confortes mon impression que l’outil « description » est un excellent catalyseur de SEO.
    (Oui, je sais, j’ai la flemme de m’y atteler, de même qu’à l’utilisation de l’attribut bold – ou plutôt strong – et aux hiérarchies h2…hn.)

    Techniquement, la « description » correspond à un chapô. Mais un second chapô, disons un chapô amélioré, calibré SEO, qui ne remplace pas l’indispensable chapô (ou, au minimum, le sous-titre) juste après le titre.

    Dans les deux cas, me semble-t-il, le vrai chapô et la description (chapô SEO) ne doivent pas trop bourriner. Ils doivent être complémentaires – en termes de mots-clés et de champ sémantique – à la fois l’un de l’autre et du titre lui-même. Tu confirmes ?

    Concernant le libellé du titre et son URL, il me semble – pour l’avoir testé quelquefois – que l’idéal consiste à répondre à une question (celle que se posent les internautes) en… posant exactement la même question.
    L’internaute se demande : Comment faire rissoler des pommes de terre ? Édouard Louis est-il gay ? Qui a inventé le scrodumalibilodonicaton ?

    Les titres se bornent à virer les points d’interrogation (l’abus de points d’interrogation nuit au journalisme) : Comment faire rissoler des pommes de terre. Édouard Louis, ou la gay attitude de l’écrivain. Alfred Trucbidulemachin, l’inventeur du scrodumalibilodonicaton.

    Et pour les URL, la même chose en raccourci : faire-rissoler-pomme-de-terre. edouard-louis-ecrivain-gay. trucbidulemachin-inventeur-scrodumalibilodonicaton.

    Au-delà du titre, du chapô, de la description, de l’image, du vocabulaire, de l’orthographe, etc., le boosteur ultime de clics, c’est le « people ». Les très rares articles que j’ai rédigés sur des « vedettes » – que dis-je ! des stars ! – dont je n’avais auparavant jamais entendu parler, ces rares articles figurent parmi les plus lus. Grâce à qui ? Grâce à Google, bien sûr (sur l’air de Findus).

    Un critère auquel je fais beaucoup plus attention qu’à celui du temps passé : le ratio pages vues sur visiteurs uniques. Je préfère un bon ratio plutôt qu’un grand nombre de visiteurs (qui boufferont la bande passante inutilement si le ratio pages/visiteurs est trop proche de 1).

    Variante du people : le football. J’ai été – et demeure – numéro un sur le nom d’un certain footballeur allemand et son orientation sexuelle présumée. Et quand l’Allemagne est rentrée dans le lard des Brésiliens, je te raconte pas le pic de fréquentation juste après la fin du match ! Il a fallu trois jours pour que les internautes se calment. Le ratio pages/visiteurs en a bien sûr pris un coup, mais à cause du nombre élevé de visiteurs qui s’intéressent aux trucs dont je n’ai pas parlé : il n’y avait ni allusions graveleuses ni images suggestives. ;)

    Un avant-dernier truc auquel tu as fait allusion et qui me paraît indispensable pour booster le SEO : un bon CM, mi-technicien mi-phrasicien.
    (J’utilise ce néologisme à dessein. Si quelqu’un le recherche, il tombera sur ta page.)

    Le dernier truc peut être, je suppose, avantageusement dopé par ledit CM : l’afflux et la qualité des commentaires.

    • Marie-Aude dit :

      Merci pour ce très long commentaire !

      Comme tu dis, il faut éviter l’excès de bourrinage, mais néanmoins rester concis et direct !
      Le coup de la question fonctionne bien, effectivement, mais j’avoue ne pas avoir envie de l’utiliser à chaque fois. Par contre, sur un blog santé, là c’est trois articles sur quatre :)

      Le boosteur peut être très surprenant. J’ai vécu récemment sur un article “tranquille” une véritable envolée sur Facebook, avec un reach de près de 10K, sur un texte qui n’était pas présenté de façon particulièrement buzz. Dans ta théma, oui, le people est un bon filon :D

      Le ratio pages vues, c’est très difficile d’en estimer un bon. Par exemple, ici, je fais des articles techniques, longs, quand quelqu’un a digéré un de mes tutos wordpress, je comprends qu’il n’ai pas envie d’aller voir ailleurs…. en revanche, la durée moyenne compte beaucoup pour moi :)

      Et les commentaires… là je suis en train de bosser sur un plugin, sur le thème “on n’est jamais mieux servi que par soi même”

      • Philippe dit :

        À propos de plugins pour les commentaires, j’en ai testé quelques-uns sans trouver ce que je cherche.

        La perle rare, pour moi, serait un plugin qui automatiserait – sur demande – la poubellisation complète des spammeurs sans passer par la poubelle temporaire d’Akismet. Donc d’après l’adresse IP de chaque spammeur, je suppose. Ça éviterait l’inflation de spams sur certain de mes blogs, notamment celui en italien qui est complètement pollué.

        Si tu en connais un qui fonctionne, je suis preneur. ;)

        • Marie-Aude dit :

          Moi j’utilise Antispam Bee qui est, à mes yeux, plus efficace qu’Akismet. Et tu peux lui demander de détruire directement les spam, de travailler en fonction de la langue du commentaire, de l’adresse IP…

  3. razbithume dit :

    J’ai vu l’article sur Google+ (partagé par Sylvain Richard).
    Et comme c’est un blog que je lis régulièrement, j’ai cliqué.

    C’est un article intéressant. Je pense le citer comme source lorsque je ferai des mini formations sur la rédaction web.
    Généralement, lorsque je demande un article, je demande également un title différent du titre de l’article, et des phrases d’accroche pour partager sur les réseaux sociaux.
    Donc ton article pourra me permettre d’illustrer tout ça avec des exemples.

    Egalement pour la refonte d’un site, je me demandais s’il fallait différencier le contenu d’ une balise title différente d’un balise meta property=”og:title” (ou au moins avoir la possibilité de différencier les deux).

    Enfin tout ça pour dire qu’une fois de plus, l’article était très intéressant.

    • Marie-Aude dit :

      Merci pour le retour :)
      Pour la différenciation entre les deux balises title (la normale et la meta og) je pense que c’est intéressant de disposer des deux, pour avoir la possibilité, quand besoin est, de les différencier. En particulier pour les boutiques en ligne, je crois que ça fait partie des choses qui peuvent vraiment aider au partage ; pour les blogs, en ce moment je fais des expériences, en différenciant vraiment les deux, on verra ce que ça donne !

  4. Florent dit :

    J’ai cliqué par curiosité. Quel rapport entre un panda et le titre ?? J’ai vu l’article sur le flux RSS avec des images en illustration qui ne sont pas les “features images” mais la première image de l’article donc (*une suggestion : changer ça* :) )

    Je suis ensuite resté car je me suis posé la question pas plus tard qu’hier : comment rédiger un titre sexy et respectant aussi le SEO.

    J’ai ensuite fait mon commentaire de retour à la maison avec un vrai clavier et là j’ai vu que la photo est celle des poissons et non du panda :)

    Merci pour ces astuces.

  5. Marie-Aude dit :

    Merci pour l’info car l’image du Panda ne devait s’afficher que sur les réseaux sociaux. Dans ce cas, je crains que ce soit difficile à régler, il faudra que je regarde dans la config de mon flux si j’ai une option.

    Le Panda était un test sur le poids d’une photo “trop mignonne”, après est-ce que le SEO aime les pandas, zatiz the question :)

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