Où trouver de bons spots de publication ?
Pénalisation des réseaux comme Buzzea ou de sites de CP comme PowerPress de Presse Citron, ze-mag, net-addict… les possibilités pour trouver “facilement” des bons spots de publication se raréfient.
Il reste d’excellents annuaires et sites de CP, grâce à la qualité de leur modération. J’ai hésité à les citer tellement la parano monte, mais clairement un site comme Infinisearch fait partie de ceux là. Comment je le sais ? Parce qu’ils m’envoie régulièrement une cinquantaine de visiteurs par mois pour des petits sites, plus pour certains. Ce qui en fait un de mes spots préférés pour annoncer des changements sur un site ou lancer un linking sur un nouveau site. Malheureusement, de tels spots se comptent sur les doigts de la main.
Alors au-delà du relationnel individuel, il reste les places de marché. Comme Buzzea ? Non, justement, pas “comme”.
En français, j’en connais deux qui font de la qualité, Teliad et RocketLinks. Les deux fonctionnent sur le même principe de base, avec des différences importantes dans le mode de fonctionnement, qui font que vous choisirez l’une ou l’autre (moi, perso, j’ai choisi Teliad, entre autres parce que RocketLinks était trop “ouvert” pour ma parano).
Mais avant de rentrer dans les détails, il faut être clair : bien que le fonctionnement de la plateforme fasse beaucoup pour assurer la qualité du linking, la responsabilité finale revient aux deux partenaires de la transaction. C’est à l’acheteur qu’il revient de ne pas faire une campagne de bourrin en demandant des ancres trop optimisées, ou en achetant un trop grand nombre de publications sur la même ancre, et c’est au propriétaire du site de décider de ce qu’il accepte de publier ou pas, malgré l’appât du gain.
Teliad est un réseau international, qui existe depuis plus de dix ans
Créé en 2005 à Stuttgart, la philosophie de Teliad est typique de ce que j’appelle, avec parfois un peu d’ironie, la “Deutsche Qualität” (avec l’accent, hérité de mes cinq années de travail en Allemagne, justement…), et qui fait d’ailleurs que le SEO allemand est très différent de ce qui se pratique en français ou en anglais.
Parce qu’elle propose des plateformes en cinq langues (allemand, anglais, espagnol, français et italien), elle attire les gros clients et les budgets multilingues, donc les acteurs du tourisme (ça tombe bien pour moi). Teliad compte plus de 50.000 utilisateurs !
Les formules proposées sont très diverses : articles rédigés ad-hoc, liens insérés dans des pages existantes, mais aussi, et c’est très récent, des possibilités de publier du lien nofollow dans des publi-reportages ou des articles invités, des communiqués de presse. Des produits spécifiques sont aussi proposés pour l’intégration de vidéos ou d’infographies.
Le contrôle de qualité chez Teliad
Il est à deux niveaux : d’abord, la sélection du support proposé. Les critères de l’équipe de qualité sont secrets, comme ceux de Google, mais sont pris en compte l’indexation, le trafic, l’ancienneté du nom de domaine, le type de site. Tout est fait pour éviter le MFA, le site à l’abandon ou racheté juste pour “faire du lien”, le site de CP mal modéré qui va se faire flinguer au prochain passage des bêtes noires et blanches.
Ensuite dans le suivi des publications, avec une vérification quotidienne de la présence du lien. Attention aux serveurs qui hoquètent ou aux indisponibilités, ça peut couter cher ! (et mieux vaut prévenir directement si ça arrive).
Les nombreux supports sont proposés anonymement
C’est pour l’éditeur la grosse force de Teliad, même si ce n’était pas le but originel, je pense : les sites proposés sont anonymes, sans url. La recherche se fait sur la base de mots clés, on voit la description résumée du site, ses meilleurs mots clés, et sa métrique. Il n’est possible de voir l’url qu’une fois la réservation payée (et on dispose alors de 24 heures pour l’annuler, si pour des raisons x et y on ne veut pas du site).
Il est donc beaucoup plus complexe pour un quality rater ou un concurrent en quête d’éléments pour un spam report, de trouver rapidement quels sont les sites qui vendent des liens.
Les contraintes
Bien évidemment les mots clés sont indiqués, il est aussi possible de préciser si on veut un lien secondaire, des illustrations. La plateforme permet de discuter en cours de rédaction avec le client. Personnellement je le fais souvent, notamment pour éviter les ancres hyper optimisées, ou les structures de texte trop “bateau”.
Le support et les paiements
L’équipe de support est hyper réactive et disponible, que ce soit dans un sens ou dans l’autre, pour un éclaircissement ou pour régler un problème. Et les paiements sont faits rubis sur l’ongle, immédiatement en fin de mois, échelonné sur douze mois, alors que l’annonceur paye à la réservation, et sera remboursé si la prestation est arrêtée de façon anticipée.
Combien ça coute ?
Teliad va donner un rang global à un support, qui correspond à une fourchette de prix. A l’intérieur de cette fourchette, chacun est libre de fixer ses prix. Pour l’éditeur, on est dans les fourchettes d’une rédaction d’article de qualité, avec en plus l’avantage de générer du contenu pour ses propres sites.
RocketLinks, le petit français
Maxime Doki-Thonon m’avait invitée à tester Rocketlinks au moment de la création de la plateforme, et je l’avais trouvée très bien, mais l’idée de montrer à tout le monde, sans filtre, les urls des sites pour lesquels je proposais de faire du lien m’a interdit de l’utiliser.
Néanmoins, je pense que c’est aussi une bonne plateforme, pour les raisons suivantes :
- malgré tout, les sites des éditeurs sont protégés : la création d’un compte annonceur n’est pas automatique, mais sur demande, et le monde du seo francophone est suffisamment petit pour que les gestionnaires de la plateforme sachent “qui est qui”
- c’est une plateforme simple à utiliser, autant pour l’annonceur que pour l’éditeur
Pour résumer voici les grosses différences :
- pas de validation des sites a priori par Rocketlinks . Une évaluation automatisée des métriques est faite, et permet de proposer un prix, mais celui-ci est librement ouvert à la négociation, et on peut même proposer des urls sans prix, totalement à négocier. Cela signifie qu’on trouvera certainement chez Rocketlinks des sites qui auraient été refusés chez Teliad.
- à la différence de Téliad, le prix des articles sponsorisés est payé en une seule fois, 30 jours après l’intégration (contre douze mensualités chez Teliad). C’était sans doute nécessaire pour rassurer au départ les éditeurs (qui aime laisser son argent chez une société, quand ce n’est pas un “gros” ?), c’est aussi un avantage
- moins de produits proposés “théoriquement”, mais la liberté de négociation entre l’acheteur et l’éditeur fait qu’à la fin, il est possible aussi d’acheter du lien nofollow
- une interface d’administration et de gestion nettement plus simple, à une différence près (et de taille) : le compte annonceur et le compte éditeur sont séparés (mais les transferts de crédits sont possibles).
J’y retrouve la même différence, finalement, que celle que j’avais vécu sur un gros projet international, entre un “gros rouleau compresseur hyper qualitatif et efficace” et “un petit franc-tireur tout aussi efficace à sa façon”.
Ces deux réseaux sont donc de bonnes sources de liens, à condition d’être qualitatif dans ce qu’on accepte de publier chez soi, et de vérifier où on commande, ce qu’on a la possibilité de faire, de façon différente, sur les deux réseaux.
La photo qui illustre cet article est mise à disposition par Horoyuki Takeda, sous licence CC BY ND
Merci de partager ces infos très intéressantes et surtout votre retour d’expérience sur Teliad.
Bonne continuation
Belle présentation sans langue de bois de ces deux plateformes de “mise en relation de personnes souhaitant amener de la visibilité sur leur site internet”.
Pour Rocketlinks, en tant qu’éditeur, je mettrais en avant la qualité de leurs clients et des payeurs mais également la qualité des éditeurs avec de très très gros sites internet doté d’un trust de folie.
Idéal pour se payer quelques liens anti-pénalité.
J’avoue que je n’ai rien compris à ce billet – qui ne doit pas me concerner. Peut-être dans l’ordre d’idée, une “étudiante” se proposait d’écrire des billets pour un de mes blogs avec des “liens d’approfondissement”. Je ne savais même pas que ça existait ce genre de pratique.
Un bon comparatif Marie-Aude, on voit que tu sais de quoi tu parles !
Je suis tout de même un peu déçu que tu ne nous ai pas choisi pour tes campagnes d’achat de liens et d’articles :p
Il est en effet important d’insister sur ce point :
“malgré tout, les sites des éditeurs sont protégés : la création d’un compte annonceur n’est pas automatique, mais sur demande, et le monde du seo francophone est suffisamment petit pour que les gestionnaires de la plateforme sachent « qui est qui »”
Nous n’ouvrons pas de compte à n’importe qui, nous effectuons un monitoring quotidien de tout ce qui se fait sur la plateforme afin de s’assurer qu’il n’y a pas d’abus.
RocketLinks n’est pas une usine à annonceurs, on préfère avoir des annonceurs sérieux dont on sait qu’il feront bon usage de la plateforme qu’un millier d’annonceurs qui l’utiliseraient pour checker ce que font les concurrents sans rien acheter. Cela nous permet aussi d’accompagner les annonceurs dans leur processus d’achat.
Perso, ne pas voir les sites avant l’achat était ce qui me gênais chez les concurrents lorsque j’ai conçu RocketLinks. Cela demande toutefois bien plus de précautions. Nous n’excluons pas le fait de changer notre modèle au fil de notre évolution.
Lors de l’achat d’un article sponsorisé, le brief que renseigne l’annonceur est “libre”, vous pouvez donc acheter des liens en nofollow, demander à un éditeur d’intégrer une infographie, une vidéo, des images, et à peu près tout ce que vous voulez sur RocketLinks.
Pour la validation des sites, nous refusons quand même parfois certains sites (réseaux de domaines expirés de mauvaise qualité, etc…), mais le but est que chacun trouve midi à sa porte. La recherche est faîte pour remonter les sites les plus pertinents par défaut.
Pour ceux qui veulent être annonceur et éditeur, il faut en effet deux mails. Mais nous avons ajouté une fonctionnalité dans les paramètres de notifications qui permet d’envoyer les notifications à une autre adresse email. Certains utilisent les alias gmail (mail+anything@gmail.com redirige vers mail@gmail.com).
Pour finir, je pense que les éditeurs ont tout à y gagner de s’inscrire sur les deux plateformes, les annonceurs étant souvent différents sur les deux plateformes. Je vois de moins en moins d’offres passer en direct, beaucoup d’annonceurs ont migré vers les plateformes.
J’espère t’avoir convaincu et si tu as envie de (re)tester RocketLinks (on a beaucoup évolué depuis 2012), on se fera un plaisir de te guider dans l’utilisation de la plateforme.
@ Li-An
Disons que ce genre de choses fait partie de la nébuleuse “vente de liens”, mais est très rarement qualitative !
@ Maxime
merci de ton passage et de ton commentaire.
Très honnêtement j’ai ré-ouvert un compte cette nuit. Je reste hyper parano, car je pense que même un individu identifié peut faire un spam report, mais on va voir :) . La méthode de Teliad continue à me sembler meilleure (tu réserves, tu vois et tu peux annuler ta réservation dans les 24 heures), elle demande aussi plus de taf à l’annonceur. Vous avez clairement deux philosophies différentes
Je pense que le facteur humain est super important. Dans ce sens, il n’y a pas photo et RocketLinks gagne haut la main.
C’est un peu comme lorsqu’on oppose Majestic et Ahrefs. On connait bien les premiers, alors que les seconds pourraient très bien être des bots, tellement ils sont opaques et invisibles.
Pareil pour Yooda et bien d’autres cas ou je préfère largement faire confiance à des gens que je connais.
Concernant le domaine délicat de l’achat de liens, je pense que c’est important d’avoir confiance dans les gens derrière le service.
La team RocketLinks est à l’écoute de la communauté et veut réellement bien faire. C’est un énorme atout.
Plus encore, la plate-forme est née d’un besoin perso mis à la disposition de tous. Cela démarque souvent les meilleures solutions.
Cet avis est posté dans la position d’un SEO lambda et pas du soi-disant blogueur influent dragué par tous les tools de la planète.
Sinon, ton comparatif est un peu bizarre. Un énorme pavé sur Teliad et quelques lignes sur RocketLinks…
Notamment, on dirait que tu n’as pas bien testé les limitations de recherche imposées, la validation par téléphone du compte, l’absence de footprint, etc.
Salut,
Perso je bosse avec les 2 plateformes en tant que publisher et je trouve les trouve tres bien toute les 2.
Il faut cependant préciser que je fais parti de ceux qui ne sont pas a la recherche du gain a tout prix et j’ai pour le moment refusé beaucoup plus d’offres que j’en ai accepté. (pas lié thematiquement ou lié a des publishers que je trouvais trop peu catholiques) Apres tu as raison sur un point: A priori Rocketlinks est plus léger sur la sélection des sites que Teliad mais – je précise bien “a priori” déja parce que j’ai vu des sites teliad de qualité plutot moyenne ensuite je pense que comme le dit maxime cela permet a tout le monde de trouver midi a sa porte.
Seul reproche que j’aurais pour Rocketlinks de mon coté c’est le fait qu’il y ait besoin d’un compte paypal – j’ai de mauvaise relation avec paypal depuis toujours et du coup ca complique un peu tout – mais pour le reste je pense que Rocketlinks fait du plutot bon boulot.
Je dirais “tout pareil” … je publie peu, et de moins en moins en fait, ayant mis mes contraintes en clair dans la description de mes sites.
Sur le principe, RocketLinks affichant l’url en clair, et donnant des informations de métrique (j’attends de voir ce qui va être mis pour le site que je viens d’y inscrire), ce n’est pas gênant qu’ils ne filtrent pas les sites en amont comme Teliad. Je pars du principe (optimiste, voire irréaliste) que quelqu’un qui fait de l’achat de lien est capable de trier entre un bon et un mauvais spot, ou de faire appel aux conseils de la plateforme.
Ayant eu quelques sites refusés chez Teliad, pour des raisons que je n’arrivais vraiment pas à comprendre, j’ai pu discuter d’un certain nombre de critères utilisés par l’équipe de qualité. On est typiquement dans la “grosse machine”, avec l’application de critères qui, d’une façon générale, sont bons, mais pas applicables dans des cas précis. A l’inverse, je pense aussi que les critères se sont durcis au fil des ans, et que des sites présents sur la plateforme depuis longtemps ne passeraient plus l’inscription maintenant.
(Sinon j’ai changé un truc dans les paramètres de l’antispam, tu ne devrais plus être bloqué systématiquement. La langue préférée de ton navigateur est l’anglais, non ?)
Laurent, je n’utilise pas Rocketlinks, et je l’ai dit :) J’ai testé la plateforme en 2012. Néanmoins, il me paraissait important de la mentionner et de ce que j’en connaissais, de mémoire de mes tests, et de ce qui était visible pour un éditeur lambda. Mais en même temps, n’étant pas utilisatrice, il est normal que j’en ai moins à dire que sur Teliad, non ? (ou alors j’envoie un mail à Maxime pour qu’il me donne le contenu du publi-reportage ? )
J’ai précisé que les comptes annonceurs étaient créés sur demande (ce qui correspond, j’imagine, à ce que tu appelles la validation par téléphone), quand à l’absence de footprint, elle n’a pas de sens dans un comparatif avec Teliad. C’est un problème type “Buzzea”, et si il y avait eu footprint chez l’une ou l’autre de ces plateformes, je n’en aurais même pas parlé :)
Le choix d’utilisation d’une plateforme, en éditeur ou en annonceur, se fait sur ses contraintes personnelles.
Il se trouve qu’à force, je connais très bien mon chargé de compte chez Téliad (beaucoup mieux que 99% des SEO français avec qui j’échange par blog ou twitter, mais que je ne rencontrerais sans doute jamais, en tout cas tant qu’il n’y aura pas d’événement SEO au Maroc).
Dans mes contraintes “acheteur”, il y a le fait de travailler souvent sur plusieurs langues, et là, Teliad a un énorme avantage par rapport à RocketLinks, avantage qui n’a aucun intérêt pour quelqu’un qui ne fait du ref qu’en français.
De toute façon, j’ai rouvert un compte sur Rocket Links, pour voir :)
Quand je parle de footprint, ce n’est pas seulement type Buzzea, mais aussi par rapport aux éventuelles traces rattachées à la transaction.
Même espionné, cela serait impossible de prouver qui a vendu à qui et si c’est en dofollow.
Pour te faire une meilleure idée de RocketLinks, voir le podcast http://www.laurentbourrelly.com/blog/1538.php (même si Valentin n’est plus aujourd’hui chez eux).
FYI j’étais totalement contre les plates-formes de vente de liens. J’en ai trop vu se faire éclater.
C’est Valentin qui m’a fait changer d’avis.
Hello M-A,
merci pour ton retour. :-)
De mon côté, je pense avoir fait le même cheminement que toi.
D’abord testé Teliad pour voir ce que c’était, j’ai vite compris mon intérêt à l’utiliser et je l’utilise donc encore aujourd’hui, confère l’interview que j’ai pu faire d’Hervé Corseau : http://www.nicolasauge.com/interview-herve-corseau-teliad/
Ensuite, après avoir rencontré Maxime à 1 AperoSEO ( petite parenthèse : c’est le dernier organisé par Flo alors venez nombreux : http://doodle.com/poll/s4k8d3re996bmnni ), j’ai décidé de tester RocketLinks et je n’ai pas été déçu.
Ce qui m’a le plus bluffé chez eux, c’est le fait d’être appelé pour activer mon compte et qu’il soit nécessaire de payer pour une 1ère presta pour lever certaines restrictions du moteur de recherche interne.
Bref, cela doit bien faire 2 ans que j’utilise Teliad et un peu moins d’1 an que j’utilise RocketLinks mais pas pour les mêmes raisons même si j’ai pu faire de l’achat de liens sur les 2 plateformes.
Pour conclure, je dirais que je préfère RocketLinks pour l’achat de liens et je préfère Teliad pour la vente ! ;-)
Pour moi RocketLinks est bien plus intéréssant que Teliad, justement pour la raison de transparence que tu n’aimes pas, en effet, Teliad à le vilain défaut de faire payer des articles sur des sites snappés, donc on croit acquérir un bon lien, mais en fait non, on achète parfois du vent, mais on ne peu le savoir qu’une fois l’article publié….. Au moins chez rocket links on peu se faire sa propre idée, et regarder si le domaine est une “arnaque” ou pas. avant d’acheter.
De plus on peu acheter des liens en NOFOLLOW chez rocket links ( oui j’achète des liens en nofollow ! ), ce qui est un véritable plus. ( je ne sait pas si c’est possible chez teliad, je n’ai pas regardé, j’ai abandonné cette plateforme pour manque de transparence justement ).
Ah là là Patrice, quand tu commentes comme ça j’ai l’impression que tu n’as pas lu l’article ^^
Si je l’ai lu, mais c difficile en gris sur blanc…. Change ta couleur stp, c’est dur quand on est vieux !
Bonjour Patrice,
Il est également possible de réserver des liens nofollow sur teliad. Il suffit simplement de cocher l’option dans le formulaire de réservation.
Si tu estimes que le domaine sur lequel tu as réservé un lien n’est pas assez bon, il est possible d’annuler dans un délai de 24h et de te faire rembourser. Le montant est automatiquement reversé en avoir pour pouvoir passer une nouvelle réservation.
Sur demande nous pouvons aider dans la recherche d’offre sur la place de marché. Il suffit simplement de contacter l’équipe de support.
effectivement les spots se raréfient alors c’est un peu galère et se tourner vers le payant semble une vraie solution ce que je trouve assez dingue d’ailleurs. C’est peut-être la pire source de liens qui demeure la moins sanctionnée (même s’il faut faire attention aux plateformes avec footprints…
Ce qui me gêne chez Teliad c’est qu’ils gèrent le prix alors parfois c’est bien en deçà que ce que je voudrais. Pour un petit blog, mieux vendre peu mais bien que l’inverse.
Chez Rocketlinks, c’est l’inverse. Quelques repères au niveau des prix ne seraient pas de refus. Point noir : ne pas avoir un compte permettant de vendre et acheter.
Sur ces deux plateformes, je ne suis pas convaincu par le moyen de paiement…
J’utilise également les deux plateformes et je suis bien d’accord avec toi que c’est “dommage” d’avoir le lien en “direct” sous rocketlinks mais ça facilite énormément la vie. Sous teliad il te suffis d’aller dans la rubrique rajouter un lien dans un article déjà présent sur le site puis le copier-coller l’extrait pour trouver le vrai site. C’est plus long mais ça reste toujours possible.
Et l’interface de teliad est franchement pas terrible, J’y utilise uniquement car j’ai des besoins de liens en langue étrangère sinon je resterais sous rocketlinks.
Le gros point noir de rocketlinks, pour moi, est que tu peux scrapper la liste complète des sites éditeurs présents sur la plateforme assez facilement. J’en avais parlé à Valentin d’ailleurs mais j’ai jamais eu de nouvelles.
Les deux plateformes ont leur inconvénients mais il faut avouer que ça marche quand même très bien grâce à la qualité des filtres lors de la recherche. Ça me dérange de ne pas passer en direct mais ça fait gagner énormément de temps.
@Aurélien,
On a fait pas mal d’améliorations sur cette partie notamment sur la partie monitoring (on sait quand quelqu’un fait quelque chose de louche et les sites qu’il a vu). Il y a toute de même des limites de requêtes aussi. Et effectivement comme tu le dis, chez les concurrents c’est aussi simple de retrouver l’URL initiale (via la description, l’extrait, les metriques),.
J’ajouterai enfin que même si tu arrives à avoir une liste de sites :
-Rien ne dis qu’ils ont déjà vendu des liens
-Rien ne dis qu’ils vendent que des liens en nofollow
Par exemple, sur RocketLinks, vous pouvez acheter une bannière sur la page d’accueil d’un site avec un lien en nofollow… Et il y a VRAIMENT des gens qui achètent des liens nofollow sur RL (surtout sous forme d’articles, pour l’e-réputation, pour le trafic direct sur les gros blogs, etc).
Valentin ne travaille plus pour RL, n’hésites pas à me transférer le mail.
@Erwan
Sur la fiche de chacun de tes sites, nous calculons des prix suggérés que tu peux utiliser pour fixer tes offres (mais les prix peuvent être inférieurs ou supérieurs) ou non. Dans le dernier cas, tu es “ouvert aux offres” et les annonceurs ont le prix suggéré comme aide pour faire une offre.
Merci pour cet article, je connaissais RocketLinks mais pas Teliad (enfin, que de nom). Je pense que pour répondre à la question initiale (où trouver de bons spots de publication ?) la meilleure réponse consiste à les fabriquer soi-même. Ce qui demande, nous sommes bien d’accord, du temps, de l’argent, et des idées… Mais les réseaux privés sont une plaie à tracer tant qu’ils restent discrets, alors qu’avec de grosses plateformes d’achat et de vente de liens comme celles présentées, c’est un peu un affront au vu et au su de Google… qui pourra décider tôt ou tard de s’y attaquer. L’épée de Damoclès en sorte…
en tout cas je trouve toujours croquignolesque de voir des pubs adsense pour RocketLinks (diffusées sur les players youtube notamment), sacré GG