Elle est fraîche ma photo, elle est pas chère…

Marie-Aude

J'ai fait de la compta, de la finance, du juridique, j'ai été chef de projet SAP, j'ai fait de la photo, des voyages. Depuis 2007, je fais avec amour des sites webs pour les utilisateurs, qui se référencent bien et je vous aide à acquérir du trafic pertinent.

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8 réponses

  1. Roland dit :

    he oui Marie-Aude c’est vrai que le droit a l’image sur internet est on ne peut plus flou!
    La totale ouverture d’internet – c’est dailleur dans cet esprit qu’il a ete cree (a tort ou a raison) – cree beaucoup de problemes.
    Reste a savoir comment revenir en arriere comme tendre un grand filet pour attraper des poissons qui sont perdus dans une immense mer de liberte!
    Les solutions sont toutes aussi floues…
    …et peut-etre la meilleure solution si on craint l’atteinte aux droits d’auteur c’est encore de ne pas mettre de photos sur internet!!!!
    car mettre des images sur internet implique que tu vas en vendre mais implique tacitement que tu vas aussi faire don de parties de ton images et de ton droit ne serait-ce que pour animer une classe d’ecole ou pour garnir les DESKTOP (sorry pour ce mot emprunte a la langue anglaise) de nos chers navigateurs “pas tres avertis”

    merci en tout cas pour cet article

    a bientot
    Roland

  2. Marie-Aude dit :

    Ce n’est pas le droit à l’image sur internet qui est flou, c’est la connaissance que les gens en ont ;)

    Je crois que le “retour en arrière” se fait peu à peu, une régulation, que je vois comme un progrès.

    L’argument “ne mettez pas vos photos sur internet si vous ne voulez pas qu’on vous les prenne” m’est souvent sorti, mais je ne l’accepte pas. A ce compte là un café ne devrait pas mettre ses tables et chaises en terrasse, et le marchand de fruits ne pas faire d’étalage ?

    La copie pour utilisation purement privée ne me gêne pas, et je l’autorise toujours quand on a la gentillesse de me la demander. Mais je n’accepte pas la “monétisation” de mes images sans mon accord.

    Merci pour le passage ici :)

  3. François dit :

    Mettre ou ne pas mettre ses photos sur Internet ? Un interminable débat, c’est vrai. Entre une photo à vil prix sur les microstocks et une photo rendus “gratuite” par un click droit, l’internaute finit par ne plus faire la différence, hélas.
    Ma position personnelle s’inspire de la vraie vie : puisqu’il y a un risque, je ne mets en vitrine que des factices ! Je m’explique : sur ce qui en grand public (blog, etc.), je ne mets que des photos de repérages, prises le plus souvent avec un compact ou un reflex d’entrée de gamme, le tout sous license Creative Commons. Les projets aboutis et récents, je les place sur un site où je peux contrôler l’accès.
    Ce n’est peut-être pas parfait, certes. Mais, dans mon cas, la photo est surtout une activité d’appoint et ne nécessite pas tout un arsenal juridique.
    Bien cordialement.
    François

  4. Marie-Aude dit :

    C’est vrai que c’est une situation “de luxe” par rapport aux problèmes internet. Malheureusement :) quand je serai célèbre je pourrai faire cela…

    Merci pour le passage, ça m’a permis de découvrir un beau blog.

  5. wim_x dit :

    Merci Marie-Aude,

    Pour ces éclaircissements.
    Pour info: en cette période creuse, je m’occupais en remplissant le formulaire de Fotolia. Cela a l’air simple, et ma réflexion était: les images que je vais mettre en ligne sont déja réalisées et déja vendues alors… pourquoi pas.
    Puis j’ai lu ton article. N’ayant pas d’attraction pour le court terme, ni pour une boite qui ne sait pas ce qu’elle vend… j’ai changé de direction et vais tenter de rentrer dans banque sérieuse.

    Comme quoi…cette lecture fût utile.

    Julien

  6. Marie-Aude dit :

    Merci pour ton mot Julien, cela fait très plaisir :)

  7. Alain Marand dit :

    Bonsoir

    Pour mémoire, Fotolia et istockphoto viennent de gagner deux procés aux USA sur les conditions d’utilisation des images déposées.
    Je crains que la confusion géographique sur les droits appliqués n’expliquent votre “haine” de ce système.
    Qu’importe, beaucoup sont heureux de ce système.
    Moi le premier. Ne plus avoir à traiter avec des photographes pour de l’illustration générique, c’est le bonheur.
    Et tant que le système durera.. Le bonheur se poursuivra
    Comme vous le savez, selon Forester group, il se produit quelques 111 milliards d’images numériques par an dans le monde. Les banques d’images ont de beaux jours, non ?
    Cordialement
    Alain

  8. Marie-Aude dit :

    Je n’ai pas de haine particulière. Je ne me sens pas concurrencée par les banques d’images, et je gagne ma vie autrement. Et dans mon domaine particulier, j’avoue que la faiblesse des images diffusées dans la plupart des banques d’images, leur légende approximative, voir fausse, me fait doucement sourire.

    Et le fait que le procès soit gagné aux USA ne m’étonne absolument pas, puisque le contrat est conforme à la loi américaine.

    La question n’est pas celle des banques d’images, c’est celle de la qualité, y compris celle de la qualité de la relation avec le client.

    En revanche, j’espère qu’il ne vous arrivera pas ce qui est arrivé à d’autres webmasters, qui ont en toute bonne foi acheté des images sur Fotolia, images que le vendeur n’avait pas le droit de vendre. Fotolia s’en est bien sûr lavé les mains, et l’acheteur s’est retrouvé à payer les dommages et intérêts.

    Bonne année :)

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