Les petites et les grosses arnaques du web touristique

Marie-Aude

J'ai fait de la compta, de la finance, du juridique, j'ai été chef de projet SAP, j'ai fait de la photo, des voyages. Depuis 2007, je fais avec amour des sites webs pour les utilisateurs, qui se référencent bien et je vous aide à acquérir du trafic pertinent.

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9 réponses

  1. Martin dit :

    J’avoue ne pas bien comprendre l’intérêt de fermer les sites récupérés au profit du site le plus visible. Il est évident, me semble-t-il, dans ce domaine, compte tenu de la présente expérience, qu’un nouvel inconnu arrivera aussitôt la place libérée avec un autre site. Il squattera ainsi les premières places des résultats de recherche, ou bien les places qui suivent.

    N’est-il pas plus pertinent de conserver l’ensemble de ces sites, quitte à ne laisser que du contenu minimum sur les sites les moins bien positionnés, afin de s’assurer des bonnes places dans les résultats de recherche ?

    Pour cela, et afin d’éviter que Google ne pénalise ces résultats, on fera bien attention à utiliser des informations WHOIS totalement distinctes (avec une préférence pour des registrar capables de faire de la véritable anonymisation de WHOIS sur les sites secondaires), voire même des hébergeurs différents.

    Bref, enlever les sites parasites, une fois récupérés, c’est laisser la place pour de nouveaux parasites. Conserver ces places, c’est s’assurer de la bonne visibilité de l’hôtel, du moins, à court terme.

  2. Sam dit :

    Wow, c’est flippant cette situation, limite kafkaien, je discutais avec Artiref récemment, il est aussi spécialisé dans le ref des hôtels et ce qu’il me disait sur Booking est insensé, ils prennent 17% de coms également!

  3. Littlebuzz dit :

    Et sur ce genre de dossier bien compliqué, qu’elles sont tes chances de réussite pour récupérer les sites ? Par précaution, n’aurais-tu pas intérêt à créer un 3eme site propre et sur lequel ton client aura la main ?

  4. Frédéric dit :

    Je demande quelles sont vos chances de réussites car nous sommes là dans un imbroglio de droit international vu qu’il y a des Espagnols d’un coté, des Marocains de l’autre et des Français pour n’oublier personne.

    Le dossier est un bel exemple des pratiques très limites de certaines entreprises sur le Web. Toujours le même principe celui de gagner de l’argent sans proposer aucun service, ni aucune valeur ajoutée.

  5. Jean-Baptiste dit :

    “Et que l’heureux hôtelier paye dans ce cas non seulement la comission booking, mais une commission à l’affilié ?”

    En fait il me semble qu’il n’y a qu’une seule et même commission que booking partage avec son affilié dans le cas d’une vente réalisée grâce à son affilié, la cookie faisant foi.

  6. Marie-Aude dit :

    @ Jean-Baptiste, non, là vous faites référence à de la véritable affiliation, qui renvoie vers le site de booking pour faire la réservation. Là il y a un site créé avec les ressources booking, la réservation se fait sans quitter le site, et il y a deux commissions différentes facturées.

    @ Martin, non ce n’est pas “évident”, étant donné que maintenant le propriétaire de l’hôtel a compris certaines choses de base. Chacun des sites a été fait à un moment donné avec son accord, mais sans la connaissance de certaines bases. Sinon il n’aurait pas “deux sites”, mais “cinquante”.

    Les sites parasites qui constituent de la contrefaçon pure et simple sont très rares.

    Par ailleurs, autant il est “possible” de récupérer des noms de domaines attachés à une marque, autant la récupération des sources est généralement une autre galère.

    Enfin, non, je ne suis pas partisane des sites satellites sur ce genre de choses.

    @ LIttlebuzz, le but du jeu est effectivement de créer un troisième site, propre, sur le nom de domaine le mieux référencé. Le site affilié de booking est très correct, mais je doute que nous puissions récupérer le code source :D quant à l’autre c’est une horreur pure et simple.

    @ Frédéric, ce n’est pas la première fois que j’ai ce problème. La récupération des noms de domaines face à des revendeurs récalcitrants, quant on a de bonnes raisons à montrer au registrar (et le fait de posséder sa marque, de pouvoir montrer sur le nom de domaine un site exploitant la marque, et d’avoir en plus un contrat spécifiant qu’on est propriétaire du ndd a jusqu’à maintenant été suffisant)

    @ Samuel, 17% de com ce n’est pas énorme, c’est dans la moyenne du marché. En revanche cette com + celle de l’intermédiaire, pour TOUTE réservation passée sur le site, il y a de l’abus !

  7. Patrice dit :

    Cela arrive hélas plus souvent que l’on ne crois, j’ai déjà rencontré 2 ou 3 chefs d’entreprises qui hélas ne savaient même pas que leur nom de domaine ne leur appartenait pas ! D’un point de vue moral je trouve ça abominable, mais bon je dois être trop honnête je suppose !

  8. Iletvilain dit :

    @Patrice, d’un autre côté, certains clients s’en contrefichent royalement (jusqu’au jour où…), et sont même du genre à afficher tous les éléments relatifs à leur domaine et à l’hébergement sur un postit bien visible.
    Certains « prestataires » abusent donc royalement de la situation.
    Ceux qui sont honnêtes peuvent même finir par le regretter, ce qui est un comble, car ils en voient d’autres (sans scrupules) rendre les clients totalement captifs, ou presque.
    Par ailleurs, les possibilités d’anonymiser les données du Whois sont du pain béni pour les mauvaises pratiques…

  9. Henri dit :

    Oui récupérer les code ftp de son site peut être fastidieux, comme dit patrice beaucoup de personnes ne savent pas que leur nom de domaine ne leurs appartienne pas, il y’as des charlatans, de gens honnête, comme pour le SEO black Hat, White Hat :)

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